Les entreprises russes de stockage d énergie se classent parmi les dix premières

Est-ce que la Russie exporte de l'énergie ?

Depuis le début de l'invasion de l’Ukraine, il y a un peu plus de six mois, les exportations de combustibles fossiles ont rapporté 158 milliards d’euros à la Russie. Ironie du sort, l'Union européenne reste le principal importateur d'énergies russes, malgré les nombreuses sanctions qu'elle impose à Moscou. Comment expliquer ces chiffres ?

Pourquoi la Russie investit-elle dans les énergies renouvelables ?

Selon Mitrova, la Russie investit graduellement dans les énergies renouvelables en essayant de localiser la production de l’équipement et d’acquérir les compétences nécessaires. Les autorités s’efforcent par ailleurs de créer des conditions visant à rendre économiquement concurrentielles ces énergies propres dans certaines régions.

Quels sont les acteurs clés des infrastructures énergétiques russes ?

Les filiales russes des géants Gazprom et Rosneft sont des acteurs clés des infrastructures énergétiques du pays.

Quels sont les principaux clients de l’industrie énergétique russe ?

Quels pays sont les principaux clients de l’industrie énergétique russe? Les données de la Banque Centrale de Russie montrent qu’en 2018 la Russie a exporté 260,2 millions de tonnes de pétrole brut, 150,2 de tonnes de produits pétroliers, 221,6 milliards de mètres cubes de gaz naturel et 36,7 millions de mètres cubes de gaz naturel liquéfié (GNL).

Quels sont les avantages des énergies renouvelables en Russie ?

L’un des premiers exemples positifs de compagnies productrices d’énergies renouvelables se frayant un chemin sur le marché russe est RusHydro, société initialement spécialisée dans l’hydroélectricité, qui a lancé un site éolien d’une capacité de 900 kilowatts dans l’Arctique, dans la république sibérienne de Iakoutie.

Quelle est la production d'énergie de la Russie ?

Sur l'ensemble de la période 1990-2019, la production d'énergie de la Russie n'a augmenté que de 18 %. On observe deux périodes très contrastées : les années 1990 ont connu de fortes baisses de production : charbon -33 %, pétrole -39 %, gaz naturel -9 % ;